• Le nouveau spectacle du Cirque du Soleil, LOVE, présente l'héritage musical laissé par les Beatles.
    http://www.cirquedusoleil.com

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  • Le Québec est nettement en queue de peloton en termes de conservation :
    un maigre 3,4 % de son territoire est réellement exclu de toute activité industrielle. Les différents intervenants concluent qu'en terme de création de grandes aires protégées au Québec, on dort comme une buche ! Il est grand temps d' atteindre 12 % d'aires protégées en forêt boréale, comme le recommande la Commission Coulombe, et de préserver notre nature pour les générations futures. Pour remédier à cette situation, l'initiative propose la protection de deux grands sites exceptionnels en forêt boréale commerciale :

    1-Pascagama :
    le joyau de la Haute-Mauricie et de l'Abitibi-Témiscamingue
    http://www.auxarbrescitoyens.com/article.php?id_article=0410

    2-La Vallée des Montagnes Blanches :
    le joyau du Saguenay Lac-Saint-Jean et de la Côte-Nord
    http://www.auxarbrescitoyens.com/article.php?id_article=0412


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  • Reportons nous le 3aôut 1998 au chalet de ma tante Yvette St-Pierre, nous venions de terminer la fête des St-Pierre le dimanche et devions entrer à Québec le lundi matin même,

    Café à la main je me suis rendu sur le bord du lac (en avant du chalet) vers 4 heures 15 du matin, près de la tête (plage municipale), un léger brouillard flottait sur le lac calme, un grand héron perché sur un tronc d'arbre (deuxième chalet à gauche) n'arrêtait pas de hurler, au large je voyais des sillons dans l'eau (environ 300 pieds du bord), tous allignés. Au début j'ai cru à des canards en promenade, alors je suis aller chercher Marie ma femme et nous avons observé le phénomène,

    De longues ailettes, fines et hautes sur une longueur de 20 à 25 pieds tranchaient l'eau en direction de la Plage municipale, environ à 200 ou 300 pieds de la plage, la bête s'est retournée sur sa droite et son aileron gauche à fait un grand remous, je croyais qu'il sagissait de deux bêtes, mais je crois que c'est plutôt son aileron latérale.

    J'ai raconté ce fait rare à mes cousins et cousines, je leurs souhaite de vivre pareille expérience un jour.


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  • Diane Guillemette de Chicoutimi a capturé samedi un requin du Groenland dans les eaux glacées du Saguenay. Le spécimen de 230 kilogrammes (506 livres) mesure 9 pieds et 7 pouces et a été trouvé au large de Sainte-Rose-du-Nord, à près de 700 pieds de profondeur, dans les abysses du fjord.

    La pêcheuse sur glace est une habituée du Saguenay. Elle savait qu'elle avait un gros poisson au bout de la ligne, mais jamais elle ne pouvait s'imaginer qu'il s'agissait d'un requin. La dernière prise du genre date de 1995, dans le fjord.

    «Il était à environ 680 pieds, complètement dans le fond. Ça veut dire 366 tours de manivelle pour le remonter à la surface», raconte celle qui a pris la peine de les compter après l'aventure. «On a travaillé pendant une heure et demie pour l'amener au bord du trou de pêche.»

    «J'ai monté la ligne doucement car la prise était très lourde. En approchant de la surface le poisson se déplaçait en tournant lentement. Quand nous avons vu la queue se pointer dans le trou, on pensait qu'il s'agissait d'un flétan», raconte la dame en montrant, sur l'écran d'ordinateur, les photos prises tout au long de l'opération.

    Les pêcheurs ont pris une gaffe pour sortir le monstre par la queue, mais il a repris le large en déroulant la ligne sur une cinquantaine de pieds. «Nous avons eu peur de le perdre. Là, on se doutait bien que c'était un requin. Nos amis, pas très loin de nous, sur les glaces, avaient vu leur ligne se faire couper, une semaine auparavant», relate Diane Guillemette.

    Les pêcheurs ont élargi le trou de pêche en bêchant avec une tranche pour casser les 20 pouces de glace qui séparaient les pêcheurs de ce qu'on considère comme l'un des plus gros poissons des eaux arctiques. C'est à l'aide d'une motoneige, avec une corde attachée au bout de la queue du requin, que les pêcheurs ont sorti le monstre de l'eau.

    Il s'agit du premier requin pêché dans le Saguenay au cours des 11 dernières années, une nouvelle qui réjouit les biologistes qui pourront pratiquer des prélèvements sur la carcasse pour faire des études.

    «Habituellement, les scientifiques recommandent aux pêcheurs de couper la ligne de pêche quand on capture un requin. C'est une pratique qu'on ne savait pas. Les biologistes n'encouragent pas la capture des requins, mais ne semblaient pas déçus d'en avoir un sous la main pour améliorer leurs connaissances», a fait savoir Diane Guillemette qui a immédiatement prévenu les spécialistes pour les informer de la prise miraculeuse.

    Pour le moment, le prédateur repose au fond de la cour arrière de Diane Guillemette, en attendant que les biologistes du Musée du Fjord de La Baie en prennent charge pour fins de conservation. © 2006 Le Quotidien. Tous droits réservés.

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